Entre quête et réalité...
Parmi "les inconvénients de l'identité de quêteur", Susan Berger signale la déception inhérente à la quête de sens, lorsque l'on vit dans un environnement où la faiblesse humaine rend ses objectifs bien difficiles à atteindre.
J'ai ressenti depuis deux ans cette déception face à des personnes qui m'apparaissaient pourtant "sympathiques" voire empathiques "avant";
Mais qui par un mot ou un geste "déplacé", ont cassé la confiance.
J'ai "grandi", je ne veux plus cautionner des paroles ou des actes qui me paraissent indécents par rapport à mon vécu.
Certaines relations faisaient partie de mon entourage familial, amical ou professionnel ; d'autres, étrangement tout aussi importantes, étaient nées de la sphère "virtuelle".
Le maître mot qui guide ma vie à présent, c'est RESPECT, respect de l'intimité, de la souffrance, des pensées d'autrui.
Je rejoins l'article d'Iris qui en parle très bien ici :
http://www.mon-intime-sein.com/article-vous-avez-dit-intime-121931458.html
Au final, je pense que ce n'est pas pour rien qu'une extraordinaire solidarité s'est forgée entre femmes qui vivent la maladie dans leur chair... Peut-être qu'elles seules peuvent "se comprendre".
Savoir dire non, c'est notamment savoir renoncer à "liker" voire "partager" certains propos ou photos qui circulent sur le net ou ne plus fréquenter certains blogs.
« Le mal retourne à celui qui le fait..
Ne jamais faire confiance en quelqu'un qui t'a déjà trahi...
Mieux vaut être entouré par peu de gens qui vous aiment,
que par beaucoup qui vous le font croire. »